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22 avril 2010 4 22 /04 /avril /2010 06:57
Une semaine en vidéos
 

Exposition Collection 3
du 13 mars au 30 mai 2010
Fondation Salomon pour l'art contemporain - Alex

 

 



Découvrez "Collection 3" : des artistes contemporains à la Fondation Salomon sur Culturebox !

 

 

Fondation Salomon pour l'art contemporain
Alex, 04 50 02 87 52
du jeudi au dimanche de 14 h à 19 h

 

www.fondation-salomon.fr

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21 avril 2010 3 21 /04 /avril /2010 07:44
Une semaine en vidéos
 

« La mémoire du geste »
L'exposition met en relation   trois peintres contemporains, Guyomard, Le Cloarec et Velickovic, avec Etienne-Jules Marey, pionnier de la photographie et précurseur du cinématographe.
du 2 Mars au 30 Mai 2010

Musée Rétif - Vence

 

 



Découvrez "La mémoire du geste", la peinture en mouvement au musée Rétif sur Culturebox !

 

 

 

Musée Rétif

1670 Avenue Rhin et Danube
Route de Tourrettes sur Loup/Grasse
06140 Vence
04 93 58 44 20

 

www.lamemoiredugeste.com/

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20 avril 2010 2 20 /04 /avril /2010 17:47

exposition

 

du 10 au  31 mai 2010

 

au Petit Temple à Lasalle (30)

 

  Elisabeth Gérony

 

 

La lumière et la pierre.

 

 

"J'ai pris des photos de chantier, à partir de ces photos , je recherche le détail agrandi , qui devient une chose graphique à part entière et suggère un autre monde." E. Gérony

 

L'image gravée accroche la lumière. Elle est enrichie en grattages, détériorations, salissures, afin que l’objet apparaisse dans tout son moelleux. Dès lors, il appartient à cet autre monde que l'artiste ne nomme pas mais qui pourrait être celui de la mémoire douloureuse. Un espace confiné, entre rêve et menace. Pas d'échappées claires mais des signes autoritaires. Pas de vrais blancs mais un graphisme contrasté. Ce monde ancien semble marqué par une faille, la disparition, la perte. Pourtant, le velouté des gris, la volupté des formes enchaînent les oeuvres au principe de Beauté. L' univers d'Elisabeth Gerony invite à l'émerveillement devant les choses, simples ou complexes. C'est un chant à la perfection miraculeuse de l'instant.

 

En contrepoint des papiers et boites en métal d'Elisabeth Gérony,  les oeuvres en grès de Lou Trommetter parlent le langage du temps qui dure. A côté de calebasses, de bols qui s'expriment en creux, les pièces  titrées "bloc", "pierre" ou "roche" dévoilent la fascination de l'artiste pour le plein, son goût du minéral. Il faut serpenter dans la colline pour atteindre le village de Lasalle et le Petit Temple situé au milieu de la rue principale . Au bout de la promenade, lle charme d'une rencontre, celle de deux univers complémentaires, celui de Lou Trommetter et d'Elisabeth Gérony.


Catherine Plassart

 

 

  Lou Trommetter

 

 

Elisabeth Gérony

 

 
Informations pratiques :
 
vernissage le 23 mai  à 19 h
Petit Temple 
126 b rue de la Gravière
30460 Lasalle
33(0)466850534 / 33(0)681509411         

ouvert
les jeudi, vendredi samedi dimanche
10h 30/12h 30  et 16h /19h 30
voir aussi : la vitrine d'Elisabeth Gérony dans Art Point France
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20 avril 2010 2 20 /04 /avril /2010 07:28
Une semaine en vidéos
 
Edvard Munch ou l'Anti- Cri
du 19 février 2010 au 18 juillet 2010
à la Pinacothèque de Paris.
 
 



Découvrez "Edvard Munch ou l'Anti-Cri" à la Pinacothèque de Paris sur Culturebox !

 

 


Pinacothèque de Paris
28, place de la Madeleine
75008 Paris

Ouvert tous les jours de 10h30 à 18h.
Nocturne tous les mercredis jusqu’à 21h (à l'exception du 14 juillet)
Samedi 1er mai 2010 et mercredi 14 juillet 2010, ouverture de 14h à 18h.

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19 avril 2010 1 19 /04 /avril /2010 06:37
Une semaine en vidéos
"Charley Toorop"
Jusqu'au 9 mai.
Musée d'art moderne de la Ville de Paris
 



Découvrez Rétrospective Charley Toorop au Musée d'Art Moderne sur Culturebox !

 

 

 

Musée d'art moderne de la Ville de Paris,

11, avenue du Président-Wilson, Paris-16e.

 

Du mardi au dimanche de 10 heures à 18 heures, le jeudi jusqu'à 22 heures.

De 3,50 € à 7 €. Tél. : 01-53-67-40-00.

 

 

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16 avril 2010 5 16 /04 /avril /2010 16:16

La Périphérie du Marché de la Poésie
poésie création littéraire petite édition lectures spectacles danse
musique chanson art contemporain cinéma nouvelles technologies
mai - juin 2010
Paris / Île-de-France


&


28e Marché de la Poésie
une vitrine de l’édition de création et de la poésie
La poésie catalane invitée d’honneur 2010
du jeudi 17 au dimanche 20 juin 2010
place Saint-Sulpice Paris 6e

 

 

 

Marché de la Poésie Place Saint-Sulpice à Paris

 

 

Plus qu’un salon du livre ou une foire littéraire, le Marché de la Poésie c'est un esprit qui souffle joyeusement sur un public toujours plus nombreux (55 000 visiteurs l'an dernier). Spectacles, concerts, lectures, remises de prix et tables rondes mêlent  poésie,  création plastique, musique, danse,  théâtre, cinéma... et animent  au fil de quatre journées remplies de surprises festives, la plus grande « vitrine » jamais conçue et réalisée de la littérature vivante. 

 

La Périphérie du Marché de  la Poésie commence fin mai et se poursuit tout le mois de juin.  Elle implique une vingtaine de lieux dans les différents arrondissements de Paris et s'étend jusqu'en Ile de France.  Son objectif est de soutenir de manière volontariste une production de création en s'ouvrant dans le temps et dans l’espace à d’autres modes poétiques d’expression artistique.

 

Mais pour se convaincre de la richesse de l'offre, il suffit de consulter le programme (PDF ). Osons toutefois, un coup de projecteur sur le premier rendez-vous de la Périphérie. Il nous est donné le jeudi 20 mai à 20h pour une rencontre avec Ousmane Sow  qui invite au coeur de son exposition à la Fondation de Coubertin, deux poètes, Nancy Huston, poète canadienne de langue anglaise et française, et Denis Hirson, poète sudafricain. 

 

Autre temps fort,  la soirée de lancement du Marché de la Poésie  durant laquelle cent poètes et cent artistes occupent cent baraques de la place Saint Sulpice  Lectures et performances,  une sonorisation mobile permettra à chaque auteur de  lire l’un de ses textes, soit environ 200 minutes de lecture non stop.

 

Une vingtaine d'événements se succèderont ainsi avant la nuit de clôture le 30 juin. Celle-ci organisée avec le Centre culturel irlandais et l’Institut Ramon Lull réunira pour un dernier Poétarium catalan,  poètes catalans et poètes irlandais, musiciens jazz irlandais et un musicien catalan. Une  soirée in fine catalano-irlandaise.

 

Catherine Plassart

 

 

Marché de la PoésieMarché de la Poésie

 

 

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Informations pratiques :

 

Le 28e Marché de la Poésie
se tiendra
place Saint-Sulpice (Paris 6e)
du jeudi 17 au dimanche 20 juin 2010
L’ invité d’honneur sera la poésie catalane.

 

Tout le programme : dossier PDF

 

voir aussi : le site de la manifestation

 

 

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15 avril 2010 4 15 /04 /avril /2010 10:21

 

 

editoavril2.jpg

 

L'art, l'identité, l'histoire.

Le langage de l'art est universel et le sens jaillit de quantité de créations. On y voit des objets du présent. On y trouve des sentiments. On y devine des traces du passé. Par bonheur, les trésors des “classiques” ou des cultures archaïques ne sont jamais tout à fait oubliés. Ils transparaissent dans ces tournures du nouveau qui prolongent la mémoire et devancent les yeux. Heureux moment, qui voit la pensée se nourrir de l'image.

Alors que nous sommes chevillés en un point du globe, l'art nous fait parcourir le temps. La mobilité du regard et celle de la pensée suppléent celle du corps. Par chance de nombreuses expositions parcourent les chemins de la terre. Parfois on est attentif à l'origine des auteurs des oeuvres, surtout si didactiquement elle nous est précisée. Souvent dans un élan on l'oublie, faisant notre, ce qui vient d'ailleurs. Dans le champ rétréci de notre perception, les images fondamentales et évasives reviennent, se répètent, s'installent.

Car images et objets décrivent merveilleusement les états essentiels. Ainsi l’identité des personnes, aussi difficile à penser qu’à dire peut-elle s'illustrer dans une palette, un vocabulaire plastique. Cette combinaison étonnante du passé, du présent, du singulier et de l'universel dans les oeuvres est une piste pour une définition de soi, identique dans la durée, mobile dans l'espace et en lien avec les autres.

Catherine Plassart

 

 

 

photos : (1) Simon Hantaï Hongrie, (2) Sundaribai Inde , (3) ITO Yoshihiko Japon

 

 

voir aussi : La Feuillée du 15 avril 2010 

 

 

Catherine Plassart 

Catherine Plassart - contact@artpointfrance.org

Les éditos de La Feuillée

 

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14 avril 2010 3 14 /04 /avril /2010 17:58

À la plage et en ville


du 06 février au 16 mai 2010


Galerie du Musée & Galerie des Ponchettes - Nice

 

 

Vincent Corpet

 

 

L’oeuvre que vous exposez fait-elle partie d’une série ?
« Ce sont des analogies, c’est ce que j’appelle les analogies simples, c’est à dire telle forme me rappelle telle autre et se succède à telle autre et se superpose et voilà cela se fabrique comme ça, par analogie.
Le rapport entre l’oeil-la main. L’oeil, la main et le cerveau c’est à dire que lorsqu’on peint un nu comme j’ai peint mes nus, le cerveau ne doit pas rentrer en ligne de compte, il est juste là pour faire marcher la main. Alors que dans ces tableaux-là, la main trace un trait, il y a un retour de mémoire
… »V. Corpet

 

 

Vincent Corpet

 

Il s'agit chez Corpet de la mémoire en fragments.  Des bouts  images, des bribes,  des échantillons, des parcelles de souvenirs qui réunis font bloc. La mémoire plonge avant six ans, tire un fil, il casse,  puis un autre, le trait avance, l'oeil le suit, la main devance, les formes s'emboîtent, le puzzle s'étend. Profusion, abondance, exubérance. Telle forme rappelle telle autre. Lâcher prise, ressemblance, correspondance, concordance, analogie

 

Corpet assemble ce qui s'éparpille, emmagasine ce qui se disperse, augmente ce qui s'amenuise. Il efface ce qui divise, nie le dénuement, maîtrise le déluge. Magie de la superposition. Il souhaite tendre les toiles au plafond et que ce ne soit plus un plafond mais un panorama. Il désire que l'on s'allonge à même le sol. Notre ciel  serait alors une  fresque où se combinent à l'infini des segments ou des tranches d'objets du quotidien, des coins ou des portions d'architecture,  des morceaux ou des miettes de paysages, des éléments de végétaux , d'animaux, de corps.

 

Ni haut, ni bas, ni gauche ni droite, Corpet peint à même le sol, marche sur ses peintures.  Pas de sens de lecture. Archaïsme. L'esprit de la grotte s'étend et domine. Quelques mots vaguent faisant signe. Des sujets en référent aux grands maîtres.  Condensation et complexité des réminiscences souveraines. Interrogation : "l'image peinte est-elle encore une image ?"

 

La Galerie contemporaine présente une série inédite de toiles dont les sujets sont puisés chez  Picasso, notamment l'interprétation du célèbre Les Demoiselles d'Avignon, alors que la présentation de la  Galerie des Ponchettes s’articule autour d’une toile libre de 13 mètres de long intitulée Poil à gratter. L'exposition est à voir jusqu'au 16 mai à Nice.

 

Catherine Plassart

 

 

 

 

Vincent Corpet Vincent Corpet

 

 

 photos :  (1) 3380 P  10 IV; 7, 8, 15 IX 08 h/t 130x97 Fonds national d’art contemporain (Cnap), Ministère de la culture et de la communication , Paris, Fnac : AP09-1(11) (2) et  (3) oeuvres hors exposition  - galerie Charlotte Moser exposition janv- fev 2010
 

 

Informations pratiques :

 

Galerie du Musée & Galerie des Ponchettes
77, quai des États-Unis
Nice
04.93.62.31.24

Ouverte tous les jours (sauf le lundi) de 10h00 à 18h00

 

Entrée Libre

 

 

voir aussi : le blog de l’artiste

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14 avril 2010 3 14 /04 /avril /2010 15:16

Rodin et la couleur.

 

du 27 mars au 21 juin 2010

 

Musée de l'Annonciade - Saint-Tropez (83)

 

 

Auguste Rodin aquarelle 

 

Les reines de Rodin.


On n’accusera pas Rodin d’être un amant infidèle de la couleur ni d’avoir plusieurs préférences à la fois. Mais si l’on passe devant ses dessins, on verra ce que l’on n’avait pas imaginé parfois : la glorification du corps de la femme sans orgueil représentée à l’aquarelle rehaussée ou non de lavis de rouge au milieu de la lumière, comme personne ne pouvait en relever le défi alors.


Sans honte ni hasard et avec une violente passion contemporaine Rodin (1840-1917) dit la même chose qu’en sculpture avec amour et en vérité :
- Est-ce que vous avez su donner sans faute votre intérêt particulier à la reine des créatures, celle qui a ôté de votre pensée la brouille ? Sacrifiez donc à votre muse l’attachement nécessaire !


Le trait est toujours subtil et agréable, l’aventure des formes ne trompe pas, la joie que donne la présence aimée est un prodige. Dans cet état qui fait des jaloux le sujet nous oblige à marcher dans les pas de l’artiste avec l’impression  d’avoir trouvé en Rodin le roi de l’amitié en peinture, parmi la cour des grands.


PG

 

 

 

 

 

Auguste Rodin aquarelleInformations pratiques :

 

Musée de l'Annonciade
Place Grammont
83990 Saint-Tropez

annonciade@ville-sainttropez.fr
Tél. 04 94 17 84 10

ouvert :
tous les jours sauf le mardi
de 10h à 12h et de 14h à 18h

 

voir aussi : le site du Musée de l'Annonciade

 

 

 

 

 

 

Pierre Givodan

Chroniques intempestives

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14 avril 2010 3 14 /04 /avril /2010 11:10

du 8 avril au  22 mai 2010

 

Galerie Jean Fournier - Paris 7e

 

 

 

Simon Hantaï

 

 

 

Fonder le silence avec Hantaï.


Supposons que la "dialectique" en peinture oscille entre désir et raison.   Une peinture "sans langue", au sens d'irrécupérable et soustraite à  la domination de la logique et du concept, relevant de la nature  profonde du désir (inconscient ?) et de l'autre côté une peinture  enveloppée par la pression de l'esprit, sa part transparente... Alors Hantaï fait partie incontestablement de la première mesure. Loin par  exemple d'un Picasso. Cette cadence qui montre le non-identique,  l'opacité, la séparation, la négativité que le désir creuse et réduit  à une chose : "l'oeuvre".


Hantaï animait cette différence à l'extérieur de tout élément  communicatif. Il était un homme silencieux aussi. Avec lui vivait  l'irruption d'un sens autre, renversant le point de vue raisonné en  peinture et ruinant l'expérience du dialogue. La critique se ramenait donc à l'éloge, à la façon d'André Breton en  1953, à la reconnaissance au mieux d'une méthode : "le pliage", "le  froissage", ou au pire à l'aveuglement devant cette entreprise inachevée et suspendue dans l'attente. A notre avis la signification de cette oeuvre abandonnée  aux résidus métaphysiques (feuillages, comme métaphores de la fin, sur  fond d'absence que le blanc résume ?) est imprégnée de la critique du  classicisme.


All-over (inspiré de Pollock ?). Peinture monochrome et répétitive qui  assume la réduction de l'acte de peindre à une "interprétation" pure  et simple du désir sans discussion, pour passer ensuite à une autre toile, sans substance  et équivalente (découpée parfois). Des moments colorés de différents  formats. Des points de vue équivalents. Hantaï favorisait ainsi des rencontres décisives dont l'enjeu était de  nous faire accepter ou pas de redécouvrir l'autre face non réfutable  de la peinture.

 

Pierre Givodan

 

hantaimariales.jpg

 


L'artiste, né en Hongrie en 1922 est décédé à Paris à l'âge de 86 ans  le 12 septembre 2008. Le Centre Pompidou possède 60 oeuvres de Simon Hantaï. La galerie Jean Fournier présente des pièces historiques  au côté d'œuvres sur papier datant du début des années 1950. Elles proviennent principalement de trois séries : une de la suite des Mariales (1962), trois des Pré-Meuns et Meuns (1967-68) ainsi qu’un Tabula violet de 1974.

 

 

 photos :  (1) Tabula violet , (2) Mariales

 

 

Informations pratiques :

 

Galerie Jean Fournier

22, rue du bac
75007 Paris

01 42 97 44 00

 

Métro 12 Rue du Bac, Bus 24 , Bus 86

 

voir aussi : le site de la galerie Jean Fournier

 

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