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1 août 2008 5 01 /08 /août /2008 07:46

"Gardons nos illusions "
cycloptically

jusqu'au 21 septembre 2008


MAMCO - Genève (Suisse)

 Philippe Ramette  Philippe Ramette



Philippe Ramette fait son cinéma à grande échelle au MAMCO de Genève. Il a voulu une exposition "bilan" revisitant par thèmes ses principales séries de photographies,  prothèses, la dictature, la manipulation, la foudre ou la paresse. 

    
Le titre choisi par P. Ramette, « Gardons nos illusions » résonne comme un appel un peu naïf à se maintenir dans un état d’esprit optimiste. Mais,  la photographie dont l'artiste se sert,  fixe une succession de moments stratifiés d'une même réalité dont on sent bien qu'elle en réfère à des situations à la fois troublantes et connues, absurdes et humoristiques. Au point de fusion du burlesque et du pathétique, la réalité est alors transformée, transposée,  métamorphosée en propositions qui donnent toute leur place à l’imaginaire, aux rêves et aux idées.


Si bien que le titre de l’exposition est décidément le clin d'oeil d'un artiste dont la silhouette serait celle d'un Buster Keaton. Il y croît, sans y croire,  sans sourire, avec élégance. Au MAMCO,  l'artiste nous invite d'abord à une  « promenade irrationnelle » équipé de l’« objet à se voir regarder » pour permettre ainsi à l’art de devenir ce miroir tendu au spectateur qui lui révèle celui qui le regarde.


C.P.


photos  :
1- « Paresse irrationnelle », 2003
Photographie couleur ; 150 x 120 cm
Photo : Marc Domage
Courtesy Galerie Xippas


2 - « Objet à voir le monde en détail (utilisation) », 1989-2004
Photographie couleur ; 150 x 120 cm
Photo : Olivier Antoine
Courtesy Galerie Xippas


Informations pratiques :

MAMCO
10, rue des Vieux-Grenadiers, CH-1205 Genève
téléphone : +41 22 320 61 22
     
ouvert du mardi au vendredi de 12h à 18h, samedi et dimanche de 11h à 18h
nocturne le premier mercredi du mois de 18h à 21h
fermé le lundi ainsi que le vendredi 1er août et le jeudi 11 septembre 2008

 

voir aussi : www.mamco.ch

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17 juillet 2008 4 17 /07 /juillet /2008 17:48

"Le Livre de l'eau (2 ème partie)"


du 02 au 24 août 2008


Pinacoteca de Jesi (Italie)


 Joanpere Massana  Joanpere Massana




Extraits du temps


Joanpere Massana peint des extraits des derniers ouvrages du Temps. Il  mêle correspondance intime et commentaire historique. Comme dans un  retour de voyage, il commence par assembler lettres et chiffres, écriture tremblante  et millefeuille d'une histoire sans fin, celle du  Grand Temps dont l'homme n'a de cesse d'essayer de se consoler ou de  s'amuser.


Ouvrons "Le Livre de l'eau"(2ème partie) et gardons en tête ce  portrait de celui qu'Héraclite appelait " Un enfant qui joue aux dés"  (le temps). Le voici se profiler sur le papier blanc strié parfois de  crayon noir et de matière terreuse, cerné d'immenses formes de jarres,  pots, cruches. Royauté de l'enfant ajoute Héraclite "l'obscur". Il s'approche, puis s'efface. Il nous fait trembler parfois. Fermer les  yeux, rire et pleurer.


Pouvoir de l'image poétique ici et magie des signes de maisons,  courses des  agathes, pour découvrir le splendide catalogue raisonné  de cette recherche dont l'atelier du peintre  et sculpteur est la  caverne. Choisir est impossible. Il n'y a pas de lettre type pour s'adapter au monde. Pas de structure  ou de mécanisme palpable ; la variation est constante. Nous flottons,  vaille que vaille, si différents pourtant.


Massana nous annonce ainsi le mariage obligé de l'esprit avec le  temps, comme un cadeau somptueux que l'on pourrait offrir. Au-delà de  nos misérables vies. Fidèle amoureux du présent, dans un style  sensible, non empesé et pénétrant, l'artiste nous invite au silence  aussi .



PG


Informations pratiques :


Pinacoteca de Jesi
Chiesa de San Bernardo
Commune  de Jesi  -  Italie.

ouvert  de 10h à 13H et de 17H à 20h.


voir aussi : la vitrine de Joanpere Massana  ICI sur Art Point France

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16 juillet 2008 3 16 /07 /juillet /2008 07:24

l'art espagnol de  Picasso, Miro, Tapies, à nos  jours.


du 23 juin au 14 septembre 2008.


Palazzo Sant'Elia - Palerme (Italie)




Joan MiróAmour d'Espagne

Il y a eu la République et puis le franquisme et la guerre civile  espagnole. L'Espagne ne devint plus rien et semblait morte, vivant en  recluse. C'était comme un suicide.

Face à cela : la perte de la raison et l'oubli de la vie, certains  artistes parièrent sur le saut dans la nouveauté : Picasso, Miro,  Tapies, avaient foi dans une forme d'absolu contenue, maintenue, dans  l'âme espagnole.

La bonne nouvelle , au-delà de l'agonie d'une civilisation millénaire  catholique et chrétienne était dans la naissance d'un art neuf auquel  est fidèle aujourd'hui un Miguel Barcelo par exemple.

L'Espagne a un désir qui la tourmente : la fidélité à soi. Même si la  vie est fragile, si elle n'est qu'un songe, ce rêve est divin et  s'accomplit dans l'art.

L'histoire de ce rêve esthétique et éthique propre à tout Espagnol  d'âme et de coeur s'incarne dans cette exposition qui résume cinquante  ans de création plastique. Croire en l'art c'est croire en la Création  et c'est se créer soi-même comme conscience.

Comprendre pourquoi et comment l'Espagne est possible suppose de  l'aimer au-delà de tout sentiment tragique.

C'est en quoi cet évènement devrait aider.

PG




photo : Joan Miró, Mujeres y pajaros, 1968, Olio su tela, 245x125, Collezione privata, © Successió Miró By SIAE 2008


informations pratiques :

Palazzo Sant'Elia
 Via Maqueda 81
90133 Palerme, Italie


mardi, mercredi, jeudi, dimanche de 10h à 13h et de 17h à 20h
vendredi, samedi  10h à 13h et de 17h à 23h

fermé le lundi
mais ouverture extraordinaire le lundi 14 juillet de 10h à 13h et de 17h à 20h


voir aussi : http://www.arthemisia.it/index.php?IDC=2&ID=45



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14 juillet 2008 1 14 /07 /juillet /2008 07:36

Frederic Fleury, Isabelle Boinot, Emmanuelle Pidoux
Frederic Poincelet, Stephane Prigent


jusqu'au 23 août 2008


Bongout Showroom  - Berlin (Allemagne)



 FREDERIC MAGAZINE




Ensemble, ils ont décidé de renoncer à leurs noms en faveur d'une identité commune appelée «Frédéric». Isabelle Boinot, Frédéric Fleury, Emmanuelle Pidoux, Frédéric Poincelet et Stéphane Prigent sont les membres fondateurs de Fréderic Magazine, une galerie virtuelle ICI , lieu “ d’une réflexion sur la perce-ption et la manière dont on appréhende le dessin ” .  Ils présentent quotidiennement depuis 2004 des travaux d’artistes invités ayant tous acceptés la seule contrainte symbolique de perdre leur nom pour devenir un “ Frederic ” .



En prolongement de ce travail une aventure éditoriale s'est mise en place. Après un premier livre très remarqué en 2005, un second opus vient de paraître. Conséquence, une nouvelle exposition,  cette fois à Berlin des  adeptes de la philo-sophie du D.I.Y.  (Do It yourself). A la  Bongout gallery leurs productions personnelles, dessins  au stylo, au crayon, au feutre, fonctionnent comme des fragments d'une oeuvre en trois dimensions. La présentation révèle le style particulier de chaque artiste, mais alors que chacun décrit son  propre monde, la somme de leurs œuvres forme tout un univers fait d'impressions de la vie quotidienne.


À l'occasion de cette exposition, Bongout produira une édition limitée de sérigraphies de dessins par "Frédéric Magazine".


Informations pratiques :


Bongout Showroom
Torstrasse 110
10119 Berlin
Allemagne

Tel : +49(0)30 280 93 758
info@bongout.org


ouvert du mardi au samedi de 12h à 19h

accès :  

U-bahn: Rosenthaler Platz
S-bahn: Hackescher Markt

voir aussi : http://fredericmagazine.free.fr/



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14 juillet 2008 1 14 /07 /juillet /2008 07:34

De Hopper à Pollock (estampes)

Jusqu'au 7 septembre 2008


au British Museum -  Londres (Angleterre)

 George Bellows     Edward Hopper 

George Bellows (1882–1925), A Stag at Sharkey's, lithograph, 1917

   

Edward Hopper (1882–1967), Night on El Train, etching, 1918. © Whitney Museum of American Art, New York.

 Robert Gwathmey      Martin Lewis

Robert Gwathmey (1903–1988), The Hitchhiker, colour screenprint, 1937. © DACS, London/VAGA, New York 2007.

   

Martin Lewis (1880–1962), Spring Night, Greenwich Village, drypoint, 1930. © The estate of Martin Lewis, Courtesy Robert K. Newman, The Old Print Shop, Inc., New York.




Sur la route ou à New York, loin de la morale du devoir et comme  libérées des images connues, ses gravures, lithographies, eaux-fortes,  pointes-sèches, témoignent de la première moitié du 20 siècle aux  Etats-Unis. Il s'agit de nous faire découvrir le roman  de quelques  générations qui ont réussi l'impossible : créer une nouvelle morale  plus spontanée et dynamique qui mènera à la révolution des moeurs des  années soixante. Suivant l'exemple américain, des milliers de jeunes  européens  se lanceront alors sur les routes de la libération  des  corps et des esprits  en quête de liberté et d'expériences neuves. Les  personnages de Jack Kerouac par exemple et de la Beat Génération  illustrent ce mouvement qui n'aurait pu s'incarner ailleurs que dans  cet espace sans frontière du modèle américain de l'après-guerre. Les rebelles de l'art, aventuriers de l'histoire des oeuvres sur  papier représentés ici par Hopper, Lewis, Bellows... ont vu germer cet  autre système de valeur.


Cette exposition témoigne de ce surgissement qui nous révèle image  après image (150 en tout, par 74 artistes)les origines de notre  contemporanéité. On trouve ainsi l'allusion exceptionnelle à un imaginaire qui prendra  les dimensions d'une iconographie mondiale et influencera plusieurs  générations d'artistes et d'anonymes.



PG


informations pratiques :

British Museum -  Londres (Angleterre)

ouvert tous les jours de 10h à 17h30
le jeudi et le vendredi jusqu'à 20h



voir aussi : http://www.britishmuseum.org/

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13 juillet 2008 7 13 /07 /juillet /2008 07:26

Über Eier/ A propos des oeufs


jusqu'au 16 septembre 2008


Museum Ludwig - Cologne (Allemagne)



Tobias Rehberger




L'exposition de Tobias Rehberger est très étonnante. Il présente une immense installation longue de 70 mètres qui réunit environ 40 œuvres de 15 années de production. Il les a simplement placées les unes à côté des autres : chaises de designer, "vase portraits", membres artificiels montés sur des socles, fleurs en papier japonais,   lampes en bandes Velcro, objets en Perspex, 'videolibraries »... Éclairés par des spots, tous les travaux jettent leurs ombres sur le mur blanc. A partir de ses oeuvres anciennes, il élabore un nouveau travail  : un mur fait de lumière, d'ombres et de couleur.



photo : Tobias Rehberger – the chicken-and-egg-no-problem wall-painting, 2008
Installationsansicht / Installation view, Stedelijk Museum CS Amsterdam
Foto / Photo: Gert Jan van Rooij
© Tobias Rehberger


Informations pratiques :

Am Dom/Hbf, Heinrich-Böll-Platz, 50667 Köln
Tel  +49-221-221 26165
info@museum-ludwig.de

voir aussi : www.museum-ludwig.de

 

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12 juillet 2008 6 12 /07 /juillet /2008 07:27

Rétrospective


du 27 mai au 05 octobre 2008


Musée  Guggenheim -  Bilbao (Espagne)



Juan Munoz

En attendant Munoz : l'oeuvre intégrale

Cela pourrait commencer par une crise des personnages ; des  personnages théâtraux qui se définiraient par des actes : le rire par  exemple.

Même s'il ne se passait plus rien, même s'ils n'avaient rien à faire,  comment se définiraient-ils autrement ? Ce ne sont pas des individus qui existent pour quelque chose, non ! Ils  attendent.

L'espace est vide, le temps est neutre. Le thème du double, celui de  l'auteur-spectateur se profile pourtant. On pense parfois à de tristes sires. Leurs corps ne sont pas soumis à  la souffrance, mais comme éprouvant un besoin d'aise : un malaise.

Munoz, visionnaire à la Beckett met en scène le théâtre de nos  représentations. La rencontre des personnages dans un décor de la  vacuité. Les objets sont là pour servir les scènes. Et l'on observe des  situations qui signalent la poursuite de la nudité expressive, sans  parole, pour dire dans le silence la condition humaine.

Le sens universel de cette oeuvre dépouillée est évident :  non-communication, solitude, désir, espoir ? Au-delà du quotidien, de  l'errance et du néant.

Galerie de clowns pour certains peut-être. Ombres anonymes pour  d'autres, ces hommes ne proposent rien mais comme nous autres sont à  la recherche de quelque chose qui manque.

PG


Juan Munoz est né à Madrid en 1953 et mort à Ibiza en 2001.
Exposition  "Rétrospective Juan Munoz" du 27 mai au 05 octobre 2008. Musée  Guggenheim, Bilbao.



informations pratiques :

Téléphone : (+34) 94 435 90 80
Horaire: du mardi au dimanche de 10:00 à 20:00 h.
Email : informacion@guggenheim-bilbao.es

voir aussi : http://www.guggenheim-bilbao.es/

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12 juillet 2008 6 12 /07 /juillet /2008 07:02

Exposition de la Collection Lambert en  Avignon
 Quarante artistes

jusqu'au 15  juillet 2008.


Villa Médicis  -  Rome (Italie)



Collection Lambert en Avignon

Le voyage avait pour but l'Italie et Rome en particulier, la Villa  Médicis plus précisément. Les invités étaient prestigieux, tous issus  de la collection Lambert. On sait que pour l'homme en question tous les chemins mènent à la  capitale italienne. C'est pourquoi il visait par cette intiative  l'histoire de l'art à partir de son centre, à la manière des  Romantiques européens qui au 19ème accomplissaient le voyage en Italie  afin de retrouver les traces d'un monde en voie de disparition. La  peinture, la sculpture, les Grecs, les Romains s'étaient en effet  donnés rendez-vous dans cette ville et la Villa Médicis en témoigne  encore.



Alors ce rêve d'installer une exposition dans un beau palais  signifiait certainement pour ses promoteurs que le passé et le présent  n'étaient pas totalement exilés l'un de l'autre et que le temps de  l'art, malgré les crises, perdurait dans une certaine unité... Cette volonté de continuité de Virgile à Dante, Poussin ou Delacroix  jusqu'à Cy Tombly, Sol Le Witt et quarante artistes sensibles à la  mythologie ou au Quatrocento nous interroge donc.


En effet on a beaucoup glosé sur la perte de mémoire dans l'art  contemporain et l'amnésie des créateurs d'aujourd'hui.  Contre-exemple donc que cette démarche originale de Yvon Lambert. Voir en effet les bustes de Dante par Andres Serrano, de Virgile par  Miguel Barcelo, d'un empereur romain par Jean-Charles Blais. Une  grande peinture de Anselm Kiefer représentant la vasque devant  l'entrée de l'Académie de France. Des photos de Nan Goldin en  référence à la culture méditerranéenne, rappel aussi de la descente  aux Enfers d'Orphée par l'escalier secret du Grottone (installation de  Bruno Peinade) entre autres.


Une façon, peut-être, de répondre à l'angoisse de l'artiste devant le  temps qui passe pour les mauvaises langues, mais surtout et plus  sérieusement une démonstration qui vise à prouver par l'expérience que  l'ancien et le nouveau sont unis dans la mémoire des créateurs  européens et que les lumières du passé méditerranéen continuent de  faire briller Rome comme une métaphore de l'avant-garde dans l'esprit  de certains et pas des moindres.

PG


Commissaire de l'exposition : Eric Mezil

Artistes : Miquel Barcelo, Jean-Michel Basquiat, Jean-Charles Blais, Marcel Broodthaers, Christian Boltanski, Francesco Clemente, François-Xavier Courrèges, Nan Goldin, Douglas Gordon, Jenny Holzer, Roni Horn, On Kawara, Anselm Kiefer, Jannis Kounellis, Bertrand Lavier, Louise Lawler, Claude Lévêque, Sol LeWitt, Christian Marclay, Brice Marden, Gordon Matta-Clark, Rei Naito, Giulio Paolini, Bruno Peinado, Charles Sandison, Julian Schnabel, Andres Serrano, Niele Toroni, Cy Twombly, Francesco Vezzoli


Informations pratiques  :

Académie de France à Rome - Villa Médicis
Viale Trinità dei Monti 1 - 00187 Roma
T. +39 06 67 61 1
standard@villamedici.it


voir aussi : http://www.villamedici.it/

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9 juillet 2008 3 09 /07 /juillet /2008 08:45

"Paris-New York"


du  1er juin au 7 septembre 2008


Fondation Beyeler, Bâle (Suisse)


Fernand Léger


Léger, un poète en Amérique

Comme un poète Fernand Léger représente un renouvellement dans la  peinture de la première moitié du vingtième siècle. C'est en grand  voyageur rempli d'enthousiasme qu'il crée une oeuvre où la vie et le  rêve sont inséparables. Sa poésie picturale existe aussi dans la  correspondance entre le parcours de l'homme , les oeuvres et les  influences américaines qu'il génère ici.


Il y a d'une part le rythme de Léger. Ses personnages romanesques,  cette obsession de la souplesse dans le rendu des formes vitales. Et  d'autre part le salut des américains (Lichtenstein par exemple) au  "vieil européen".
Ce n'est pourtant pas une peinture de la volonté pure ou de  l'intellect que celle de Léger. Bien sûr la matière est contrôlée et  l'inspiration bien conduite. Mais l'enjeu est simple : ouvrir la vie à  l'inattendu. Non pas fouiller les plaies, mais greffer des  morceaux  de rêves pour de nouveaux corps. Les artistes américains ont répondu à  cette parole.

La profondeur de l'art de Fernand Léger se mesurerait-elle à la pureté  de sa poésie ?


PG


Exposition Fernand Léger, fondation Beyeler, Bâle."Paris-New York" du  1er juin au 7 septembre  2008.


informations pratiques :

Baselstrasse 101, CH-4125 Riehen/Bâle
Tél. +41 (0)61 645 97 00
Fax +41 (0)61 645 97 19
Informations par boîte vocale: +41 - (0)61 - 645 97 77
e-mail fondation@beyeler.com


tous les jours de 10 à 18 h, le mercredi jusqu'à 20 h
Le musée est ouvert tous les dimanches ainsi que tous les jours fériés



voir aussi : http://www.beyeler.com/fondation/f/html_11sonderaus/01_aktuelle/intro.htm


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28 juin 2008 6 28 /06 /juin /2008 08:28

A Story of Art and Music



du 20 juin au  14 septembre 2008



Palais des Beaux-Arts -  Bruxelles (Belgique)






 Lou Reed





FR  BOZAR EXPO ouvre l’été avec It’s not only Rock ’n’ Roll, Baby ! L’exposition rassemble des œuvres visuelles de musiciens rock majeurs des années 1970 à nos jours : Yoko Ono, Patti Smith et Brian Eno, mais aussi de musiciens d’aujourd’hui comme Chicks on Speed, Antony, The Kills, Pete Doherty et le chanteur belge Bent van Looy (Das Pop). It’s not only Rock ’n’ Roll présente le travail d’artistes qui ont souvent été plasticiens avant d’être musiciens et montrent combien ces deux formes d’expression, pourtant différentes, sont indissociables.



En marge de l’exposition, le Palais des Beaux-Arts présente une série d’événements, de projections de films et de performances d’artistes. Parmi les premiers événements marquants : la soirée  Feeling good is great – feeling ‘O is better avec La Fille d’O le 27 juin et le concert de Lou Reed le 16 juillet.

 

En collaboration avec Rock Werchter !



Informations pratiques :

Palais des Beaux-Arts 
23 rue Ravenstein 
1000 Bruxelles - belgique
00 32 2 507 82 00
00 32 2 507 84 44 

Commissaire : Jérôme Sans


voir aussi :   www.bozar.be

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