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21 mai 2007 1 21 /05 /mai /2007 10:26

du 01 juin au 08 juillet 2007

 

MAMAC - Liège (Belgique)





MAMAC - LiègeOeuvres vitales ? Oeuvres sacrées ? Moyens de rester en vie ? Oeuvres libératrices ?

 

[Cardiogramme] suscite des questions singulières et universelles sur l’essence de l’oeuvre, - œuvres de l’ordre de la survie ? - l’intensité qu’elle dégage et a la volonté de vouloir contribuer à une réflexion sur la culture contemporaine de l’image en inscrivant sa ligne de sens sur la notion d’ouverture - laissant de côté les conflits de frontière entre les divers modes d’expression artistiques et leurs publics, entre les artistes reconnus et les artistes "en marge", entre le local, le national et l’international - dans le seul but de nous pencher sur l’art et tout ce que l’on peut savoir aujourd’hui d’un homme concret.

 

Le parcours de cette exposition traduit le regard de certains artistes sur eux-mêmes (autoportraits) en ce sens qu’ils existent singulièrement et sont exposés aux misères et aux miracles induits dans le simple fait de vivre et souligne aussi l’implication de certains de ces artistes dans le monde qui les entoure (portraits de leur environnement social et/ou sociétal).

 

Les oeuvres, même si certaines peuvent choquer, aident à mieux saisir et apprécier toutes les dimensions de l’expérience humaine. Les artistes n’interprètent-ils pas et ne révèlent-ils pas la complexité des événements qui les touchent d’une manière singulière et autrement puissante ? Ils nous incitent à voir les choses différemment.

 

En amenant un autre regard, en provoquant des questionnements, en ébranlant des convictions, le but de cette exposition est de contempler ces oeuvres comme un témoignage de l’attente de l’artiste au-delà des normes généralement imposées par la société et de questionner le public sur sa propre relation à lui-même, à l’autre et à ses différences.

 

[Cardiogramme], comme l’enregistrement des mouvements du cœur, s’apparente à un voyage autour de deux mondes, intérieur et extérieur, à l’issue duquel nous pouvons dire que "le singulier est une voie plus sûre vers l’universel que le général ou la moyenne." (Pineau)

 

Umberto BERGAMASHI , Fabien CLAUDE , Sylvain COSIJNS , Antonio DALLA VALLE , Joëlle DELHOVREN , Paul DUHEM , Cécile FRANCEUS , Laurent GÉLISE , Martha GRUNENWALD , Johann HAUSER , Josef HOFER , Johann KOREC , Dwight MACKINTOSH , Francis MARSHALL , Jannie NOTMEYER , Evert PANIS , Franca RAVET , Fernanda REYNS , Willem VAN GENK , Marc VAN NUFFEL , Roy WENZEL



informations pratiques :

Vernissage le 31 mai à 18h

Le Musée d’Art moderne et d’Art contemporain de la Ville de Liège (MAMAC)
Parc de la Boverie 3  B-4020 Liège
Tél 00 32 (0) 4 343 04 03 (MAMAC)
E-mail mamac(at)skynet.be


Parking : parc de la Boverie et environs
Transport public : Bus 17 (gare des Guillemins). Bus 26, 26/, 30 (centre ville place de la République française)


Le musée est ouvert :
Du mardi au samedi, de 13h à 18h.
Le dimanche, de 11h à 16h30.
Fermé le lundi.


voir aussi : le site du Musée de Liège


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15 mai 2007 2 15 /05 /mai /2007 11:49

du 4 au 27 mai 2007

 

Espace blanche - Bruxelles



Ronald Pirson





Ronald Pirson : l’élémentaire désormais.

Evidemment on songe à Penck, l’écrivain, sculpteur, musicien, cinéaste dont les œuvres plastiques démesurées ont peuplé l'imaginaire des années allemandes de l'underground d'il y a vingt cinq ans. Chez Ronald Pirson aussi le langage pictural est empli de personnages archétypes colorés peints en all-over enchevêtrés. Mais l'esprit est ludique ici et la danse domine. Le néo-expresionnisme apparaît assagi en somme. Et gai.
PG




informations pratiques :

Espace blanche

Rue Marché au Charbon, 3
1000-Bruxelles
Tél :  32 2 510 01 41
Fax : 32 2 510 01 40
E-mail :galerie@espaceblanche.be
Ouvert de 14 à 18 heures. Présence de l'artiste samedi, dimanche et jours fériés.



voir aussi : le site de l'Espace Blanche

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17 avril 2007 2 17 /04 /avril /2007 07:21
du 20 au 23 avril

 

Art Brussels - Bruxelles (Belgique)



Bruno Peinado Bruno Peinado
FRAC des Pays de Loire 2007  




Les copies plus ou moins fidèles ou décalées de Peinado relèvent de cette culture anti copyright dont la musique s'est fait le premier chantre.Ses samples graphiques traversent les territoires ultra-codifiés de la culture de masse, des médias et du commerce. Une oeuvre insolente qui admet que le retour du subjectif et la liberté de se mouvoir d'un environnement à l'autre ne tiennent pas au déni mais à la réappropriation."Ma logique est celle de la créolisation, du métissage, le monde est une collision d'images. J'ai dans l'idée de casser la pureté". Travaillant à partir de cette revendication, Bruno Peinado s'approprie une multitude de signes, d'objets provenant des produits culturels. Ces références se croisent dans des installations composites qui mêlent dessins, sculptures, vidéos, sons et peintures sur différents supports. On retrouve ainsi dans son oeuvre des productions aussi hétéroclites que des pochettes de disques, des jeux vidéos, des comics ou bien encore des flyers.

 

L'artiste l'affirme lui-même: "... il y a une dimension pop dans mon travail, puisque je redessine des images trouvées dans les magazines. Mais c'est un geste de réappropriation pour en comprendre le fonctionnement. Ce qui m'intéresse, c'est de remettre en jeu ces images".
Anna Hiddelston

 

La Galerie Loevenbruck qui présentera du 20 au 23 avril à Art Brussels le travail de Bruno Peinado à côté des oeuvres de Olivier Blanckart, Alain Declercq, Virginie Barré, Robert Devriendt, D.Dewar & G. Gicquel, Philippe Mayaux, Stéphane Sautour a bénéficié du concours du Centre National d'art plastique pour l'édition du premier catalogue consacré aujeune artiste.





Me Myself and I, catalogue consacré à Bruno Peinado
Edité par la Galerie Loevenbruck

 

Le livre présente l'ensemble des carnets de dessins de Bruno Peinado, de 1995 à 2005, véritable source de sa création. Le titre de l'ouvrage reprend le titre d'une série de dessins.


Trois auteurs ont participé à la conception de l'ouvrage: Lili Reynaud-Dewar, artiste et auteur; Charlotte Laubard, directrice du Capc et Elisabeth Wetterwald, critique d'art. Elles proposent trois textes inédits , trois points de vue singuliers sur le travail de l'artiste.


En l'état du projet, chacune des séries de dessins est séparée par quelques pages de respirations graphiques. Le livre de 1 600 pages sera imprimé sur « papier bible » de manière à conserver le caractère léger et propositionnel du dessin. L’ensemble des textes figure à la fin du livre, une manière de permettre au lecteur de voyager par les images dans un premier temps puis d’accéder à trois lectures, celles des auteurs.
Sylvia Tournerie, graphiste réalise l'ouvrage.

 

Bruno Peinado est né en 1970 à Montpellier. Il vit et travaille à Douarnenez.



voir aussi : le site de la galerie Loevenbruck, le site de Art Brussels, le site du FRAC des Pays de Loire


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12 avril 2007 4 12 /04 /avril /2007 18:15

du 28 mars au 3 septembre 2007

 

Musée Guggenheim Bilbao (Espagne)






Anselm Kiefer
Depuis que, il y a presque dix ans, le Musée  Guggenheim Bilbao  consacrait l’une de ses salles à l’artiste allemand Anselm Kiefer, les œuvres qui y figuraient et qui ont rejoint la collection  du musée ont été exposées maintes fois. 

A l’occasion du dixième anniversaire du Musée Guggenheim Bilbao, une grande exposition  Anselm Kiefer présente ces pièces en compagnie d'oeuvres produites par l'artiste les dix dernières années. Elle  comprend  également une toile monumentale spécifiquement conçue pour l’Atrium du Musée. La manifestation est organisée par thèmes autour des grandes séries.



Kiefer, qui s’est hissé au rang des créateurs essentiels de notre temps, est né en 1945, peu avant la fin de la IIe Guerre Mondiale, et a grandi au milieu des ravages provoqués par la guerre moderne, témoin du démembrement de son pays, de la reconstruction d’une nation divisée et de son combat pour renaître des cendres. À partir de la conviction qu’il n’existe pas de vérité mais des interprétations différentes, Kiefer remet constamment en question dans son œuvre la place qu’occupe l’être humain au sein du cosmos et analyse les liens entre l’histoire, la mythologie, la littérature, l’identité et l’architecture allemandes. Au finale, ses travaux présentent des surfaces multistrates, aussi complexes et fragmentées que les thèmes dont ils traitent. Ses œuvres monumentales, débordantes de références à la tradition romantique allemande et au patrimoine politique et philosophique de son pays, fondent la peinture, le collage et la sculpture. Sa palette, quasi monochrome, se combine avec des matériaux peu orthodoxes comme le plomb, le fil de fer, la paille, le plâtre, l’argile, les graines de tournesol, la cendre et la poussière. Kiefer est ainsi l’auteur d’un corpus prolifique d’oeuvres dont l’échelle monumentale et les textures singulières soulignent la solennité et la nature transcendante du contenu.


 

Anselm Kiefer
Ces dernières années, Kiefer a exploré des thématiques plus universelles, toujours basées sur la religion, sur des symbolismes cachés, sur les mythes et sur l’histoire, mais plus centrés maintenant sur le destin global de l’art et de la culture, ainsi que sur la spiritualité et les mécanismes et mystères de l’esprit humain. L’art de Kiefer réfléchit sur la civilisation globale et sur la foi pour nous alerter sur la répétition cyclique de l’histoire, en même temps qu’il analyse et traite les expériences et les fardeaux de la condition humaine.



L’exposition, organisée thématiquement, met particulièrement l’accent sur les interventions monumentales de Kiefer, autrement dit sur des œuvres qui, au fil des années, ont manifesté une interaction forte avec l’architecture et qui, souvent, sont logées, avec un caractère symbolique, dans des contextes lourds de références historiques, religieuses ou culturelles. Citons parmi elles une sélection des impressionnantes toiles de la série Chevirat Ha-Kelim (2000) ou les œuvres qui explorent des thèmes dans toute leur profondeur comme La vie secrète des plantes (2001–02) ; l’atrium du Musée accueille une nouvelle peinture spécialement créée pour lui, une colossale carte du ciel de 15 mètres dont la vertigineuse verticalité joue pleinement l’interaction avec le spectaculaire espace de Gehry. L’exposition se poursuit au premier étage du Musée et au deuxième, où elle se divise en sections réservées aux ensembles d’œuvres individuelles mais liées entre elles, aux souvenirs et aux idées qui illustrent la recherche de l’artiste, de façon à refléter la charge visuelle et émotionnelle qui caractérise le travail de Kiefer.


Les reférences historiques, culturelles et géographiques de Kiefer sont extrêmement diverses. Il choisit des nœuds et des moments spécifiques de l’histoire pour aborder des thèmes et des interrogations universels qui se chevauchent et s’entrecroisent. L’exposition insiste aussi sur ses sources d’inspiration littéraires et poétiques, de la philosophie de Martin Heidegger (1889–1976) et Friedrich Nietzsche (1844–1900) aux textes de Paul Celan (1920–1970), Jean Genet (1910–1986) et à la musique de Richard Wagner (1813–1883). À travers ces figures, il affronte des questions en rapport avec la nature, la science, la religion ou l’histoire.

 

Anselm Kiefer

Parmi les pièces exposées se trouve Pour Khlebnikov (2004), une série de peintures dédiées au visionnaire poète futuriste russe Vélimir Khlebnikov (1855–1922). Kiefer y traite d’une conviction du poète selon laquelle les catastrophes militaires navales se produisent tous les 317 ans. Il peint les navires de la IIe Guerre Mondiale comme flottant dans l’air, et non sur la mer, en les accompagnant de noms de bateaux de guerre, de batailles et de militaires célèbres qui illustrent le modèle historique cyclique de Khlebnikov. La science et le destin sont aussi le thème principal d’une autre série inspirée par l’observatoire construit à Jaipur, ville indienne visitée par Kiefer, par le Maharajah Sawâî Jai Singh II (1688–1743), excellent mathématicien et astronome, pour contempler le firmament. Dans les œuvres de cette série apparaissent des constellations traversées d’instruments de mesure comme des cadrans solaires.
 



L’exposition s’attarde sur l’intérêt de Kiefer pour la fragmentation de l’histoire. Cette idée prend la forme d’un dialogue entre l’architecture archaïque, des escaliers de ciment en ruines et la représentation picturale de ruines antiques dans
Seulement avec le vent, le temps et le son (1997), une œuvre qui explore la quête spirituelle. Kiefer aborde le mélange de religions dans Chevirat Ha-Kelim, ensemble émouvant de formats monumentaux couronné par un arc. Cette œuvre créée pour la chapelle de l’hôpital psychiatrique de La Salpêtrière, à Paris, fait référence à la Kabbale, c’est-à-dire à l’enseignement mystique basé sur une interprétation ésotérique des écritures juives.


Kiefer s’est aussi intéressé à l’identité et à l’expérience de la femme dans deux groupes d’œuvres centrés sur deux périodes historiques bien différentes. Dans Les Femmes de la Révolution (1992), qui s’inspire de l’ouvrage homonyme de Michelet (1798–1874), il associe des lits en plomb à des photos et des textes griffonés au mur qui renvoient aux grandes figures féminines de la Révolution Française. Dans Femmes de l’Antiquité (2000–04), des mannequins sans tête, vêtus de crinoline blanche, représentent des personnages mythologiques et historiques de l’Antiquité. Certaines de ces femmes furent des héroïnes, d’autres des monstres, mais toutes se caractérisèrent par une force d’âme et une détermination remarquables. Kiefer s’empare aussi de personnages historiques comme Bérénice, cette mystérieuse princesse égyptienne du IIIe s. av. J.-C., dont les cheveux, objet d’une légende, ont donné lieu à une constellation.


Les méditations de Kiefer sur la nature et la science se poursuivent dans La vie secrète des plantes, une fresque de 28 toiles qui joue avec les branches, le plomb et le fil de fer. L’artiste a emprunté son titre à un ouvrage de Peter Tomkins et Christopher Bird, publié en 1973, qui analyse la nature sensible des plantes et la façon dont celles-ci peuvent apporter une réponse aux mystères de notre monde.


Pour Paul Celan
(2006), se compose d’imposants livres en plomb massif, traversés de fleurs, symbole classique de la fertilité mais aussi du côté éphémère de la vie. Kiefer rend ainsi hommage au poète et essayiste judéo-roumain Paul Celan, qui survécut miraculeusement à l’Holocauste. Celan partage nombre de thèmes et d’inquiétudes de Kiefer : le sentiment de perte, la mélancolie et la conviction que la mémoire doit être préservée car elle est l’unique moyen qui permet d’assimiler les traumatismes de l’histoire humaine.


Par l’examen des principaux concepts et sources d’inspiration de l’œuvre artistique dans le contexte des espaces dynamiques de l’édifice de Frank Gehry, Anselm Kiefer atteint la force extrême d’une apogée opéristique : la peinture et l’architecture s’entre-pénètrent dans une célébration de la dimension imaginaire de l’art comme force personnelle et collective.

Germano Celant
Commissaire de l’exposition



photos : (1) Les célèbres ordres de la nuit 1997 510 x 500, (2) Les destins du peuple 380 x 560 2004, (3) La hiérarchie des anges 950 x 510 2000




informations pratiques


Musée Guggenheim Bibao Abandoibarra, 2 48001 Bilbao

Tel : (+34) 94 435 90 80

Email : informacion@guggenheim-bilbao.es 

ouvert du mardi au dimanche: 10h à 20h. Fermé Lundi. Juillet et août tous les jours: 10h à 20h



voir aussi  : le site du Musée Guggenheim Bilbao, notre dossier Anselm Kieffer

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12 avril 2007 4 12 /04 /avril /2007 16:48

du 4 avril au 5 août 2007

 

Musée Tinguely - Bale (Suisse)





Internationale Situationniste Internationale Situationniste Internationale Situationniste

Photo de groupe avec Michèle Bernstein, Asger Jorn, Colette Caillard et Guy Debord à l’époque de l’Internationale Lettriste, tirée du film de Guy Debord, Sur le passage de quelques personnes à travers une assez courte unité de temps, Paris 1959
Dansk-Fransk Experimental-filmskompagni (20 min.)

Constant (Constant A. Nieuwenhuys), Ambiance de départ, 1959 Métal (fer, acier, cuivre) Plexiglas, huile / panneau : 10 x 99 x 77,5 cm. Collection Gemeentemuseum, La Haye, Pays-Bas © 2007 Trudy Nieuwenhuys-van der Horst. Photo : Gemeentemuseum, La Haye, Pays-Bas

Dieter Kunzelmann, « Lübke ruft Christen zur Unzucht mit Hühnern auf » carte postale adressée à HP Zimmer, 29.8.1962
Stylo bille et collage / papier
SPUR-ARCHIV-BERLIN
Photo : Renate Grunenberg, Berlin

     



In girum imus nocte et consumimur igni
(«Nous tournons en rond à travers la nuit et sommes consumés par le feu.»)

 

L’exposition L'Internationale Situationniste retrace les quinze années d'un mouvement, somme toute peu connu, depuis sa fondation en 1957 jusqu’à sa dissolution en 1972. Elle s'organise autour de la biographie de sa figure centrale, Guy Debord, dont le film mythique « In girum imus nocte et consumimur igni » (1978) sert de fil conducteur.

 

Le Musée Tinguely présente  environ 400 œuvres qui illustrent ce dernier grand mouvement d’avant-garde composé de 72 artistes organisés en sections en Allemagne, aux Pays-Bas, en Amérique, en Afrique du Nord etc...

 

L'exposition comprend ainsi hui parties dont les premières sont allouées aux mouvements précurseurs le Lettrisme,  l’Internationale Lettriste et CoBra fondé en 1948 par le Belge Christian Dotremont, le Hollandais Constant Nieuwenhuys et le Danois Asger Jorn.

 

Pour l’Internationale Situationniste comme pour CoBrA, il fallait redonner une consistance, un sens au quotidien en s’attaquant radicalement à certains des fondements de la société capitaliste : la morale, le travail, le divertissement. Pour Debord, la société du spectacle fait de l’homme un simple consommateur passif et détruit tous les germes de bonheur que pourrait receler son quotidien. Le « détournement » et la « dérive » - action menée sans but et sans plan préconçu - étaient deux pratiques communes du mouvement pour dynamiter l’esthétique traditionnelle.

 

L'une de leur cible fut l’urbanisme moderne, l’organisation aliénante de la ville en zones fonctionnelles. Au moment des révoltes étudiantes de 1968, les slogans de l'Internationale Situationniste furent diffusés et repris dans plusieurs langues par l’intermédiaire d’affiches, de manifestes, de bandes dessinées à l'échelle internationale. Leur but fut le «dépassement de l’art» et leur véritable oeuvre d'art les émeutes de mai 68 à Paris.

 

Les situationnistes furent les précurseurs de mouvements tels Fluxus ou l’Arte povera. Leur influence s’étend à la culture punk et se retrouve  aujourd’hui dans l’altermondialisme.


PUBLICATION

Catalogue de l'exposition bilingue, allemand anglais. Illustré - textes d’Axel Heil, Thomas Hirschhorn, Jacqueline de Jong, Michael Lentz, François Letaillieur, Annja Müller, Selima Niggl, Peter Sloterdijk, Juri Steiner, Mark Wigley, Nina Zimmer, Stefan Zweifel etc.Ill. eds JRP Ringier CHF 44







informations pratiques

Musée Tinguely Paul-Sacher-Anlage 1 Ch-4058 Bale 

Tel. +41 61 681 93 20 Site:

ouvert du mardi au dimanche : de 11h à 19h. Fermé le lundi

commissariat : Heinz Stahlhut




voir aussi : le site du Musée Tinguely

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12 avril 2007 4 12 /04 /avril /2007 12:04

Collections sans Frontières VI

 

Artiste(s) : Matthew BUCKINGHAM • Peter DOWNSBROUGH • Didier MARCEL • Allen UPPERSBERG 

 


Du 29 mars  au 30 juin  2007


 MNAC - Muzeul National de Arta Contemporana - Bucarest (Roumanie)


 Frac Champagne-Ardenne  Frac Champagne-Ardenne



Le Frac Champagne-Ardenne et << PLATFORM >> GRAND EST ont confié de concert le commissariat de l'exposition "Sublimes objets" à Mihnea Mircan.


Curateur invité au Pavillon du Palais de Tokyo en 2005-2006, Mihnea Mircan en a profité pour partir à l’est, à la découverte des collections de nos Frac.


Avec "Sublimes Objets. Collections sans Frontières VI", il a décidé de porter un nouveau regard sur les collections des Frac Alsace, Bourgogne, Champagne-Ardenne, Franche-Comté et Lorraine. Les œuvres choisies portent en commun une réflexion sur la notion d’échelle et n’hésitent pas à manipuler les proportions qui régissent la relation sujet-contexte. Elles utilisent leur dimension comme un médium artistique, créant sur des modes différents un déséquilibre entre leurs qualités intrinsèques et les processus de prolifération ou de disparition. Ces œuvres qui inventent leurs propres règles d’expansion, intègrent des procédés d’accumulation ou de dégradation ou interrogent les relations inattendues entre unité et totalité, opèrent dans le champs du sublime.


Mihnea Mircan a été nommé commissaire du Pavillon roumain à la Biennale de Venise 2007.






informations pratiques

MNAC - Muzeul National de Arta Contemporana
Izvor St. 2-4
Institut français de Bucarest
77 Bd Dacia - Wing E4 Bucarest - Roumanie

tél. 00 40 21 3189137

ouvert du mercredi au dimanche  de 10 h à 18 h

 

Ouvrages  :

Catalogue "Sublimes Objets. Collections sans Frontières VI"
Publication d’un catalogue trilingue (roumain-français-anglais) avec les contributions de (sous réserve) : Mihnea Mircan, Jonathan Dronsfield, Erica Papernik, Arnaud François, Guillaume Sibertin-Blanc, Béatrice Josse et François Quintin



voir aussi : le site du FRAC de Bourgogne


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3 avril 2007 2 03 /04 /avril /2007 06:55

peintures

du 19 au 23 avril 2007

à ARTBrussels 2007

&

du 3 mai au 30 juin 2007

Galerie Fred Lanzenberg - Bruxelles (10) Belgique






Guy Leclercq


La  présentation des oeuvres de Guy Leclercq à Art Brussel  du 19 au 23 avril sera suivie par une exposition à la Galerie Fred Lanzenberg du 3 mai au 30 juin.



"Nouvelle aventure puisque c'est la première fois que j'expose Guy Leclercq. Et engagement fort puisque cette première fois s'établit sur la base d'un One-man show à ARTBrussels.


Année après année, je vois l'oeuvre de Guy Leclercq exposée par la Galerie De Zwarte Panter. C'est avec le complet accord de cette galerie que j'entreprends cette double démarche. Preuve, s'il en est, que deux galeries, l'une à Anvers, l'autre à Bruxelles, peuvent, sans aucune rivalité, assurer la reconnaissance d'un artiste.



Guy Leclercq est né en 1940 à Opbrakel en Belgique. En 1957 Institut Supérieur St. Lucas à Gand. Puis Académie Royale à Anvers. Il se lie d'amitié avec Fred Bervoets et Josef Van Ruyssevelt. Fait la connaissance de Lionel Vinche avec lequel il travaille durant de longues années. Première Exposition personnelle à la Galerie La Madeleine, à Bruxelles en 1965.



L'expression picturale de Guy Leclercq peut se scinder en trois périodes, la première est abstraite, dans laquelle on peut déjà trouver les prémices des formes simplifiées qui vont marquer sa maturité, à savoir les oeuvres des cinq dernières années. La période intermédiaire s'inscrit dans une figuration narrative et des expositions collectives ont lieu avec Lionel Vinche, Frank Maieu, Karel Dierickx, Roger Raveel, Jan Cox, Yvan Theys..... Peu à peu, Guy Leclercq rejette toute narration, mais, sans pour autant pratiquer un art abstrait, terme qu'il réfute.


Car si l'imagerie a disparu, le sens profond reste le même. Rapport entre des personnages, table, objet, nature morte, qu'il n'hésite pas à nommer. Willem Elias, dans la préface de la monographie consacrée à Guy Leclercq , écrit que ses peintures figuratives aux allures de bandes dessinées, épithète exagéré, à mon avis, ont cédé la place à des rébus incisifs comme des aphorismes. Il me semble que de simples " rébus ", si tel était le cas, risqueraient de nous tenir à distance de l'oeuvre. Au contraire le " sentiment " dont Leclercq voulait charger son oeuvre dite figurative, se trouve largement renforcé, dépassé par la simplification, l'épuration des formes.

 

Plus loin dans son étude Willem Elias reconnait que la structure ou facture du tableau a d'autant plus d'importance que notre attention n'est pas détournée par des personnages ou des objets, tels que nous les connaissons, puisque le sujet est la peinture en soi.( Mais ne devrait-il pas en être toujours ainsi).


Mais jouer la carte de la technicité n'est pas intéressant en soi si on ne met pas l'accent sur la perceptibilité sensorielle de la facture. Chez Guy Leclercq, cela se traduit par un dialogue tout en nuances, sensibilité et sensualité entre les blancs cassés et les noirs, ce jeu continuel d'attraction, d'imbrication, de superposition de ces formes vivantes. C'est ce qui fait dire à Willem Elias que Guy Leclercq fait partie de ces artistes dits " abstraits " qui renouent avec la vie. Que représentent ses formes sinon toutes les variations possible sur l'amour : tensions, malentendus, jeux d'attraction et de répulsion.....Tous sentiments exprimés avec une grande sobriété, retenue et selon l'expression consacrée : économie de moyens.


Sans doute a-t-il fallu à Guy Leclercq d'atteindre la soixantaine et d'avoir traversé toutes les étapes pour atteindre à l'essentiel. "








Publications

Une monographie sera présentée lors de ARTBrussels - Editeur SNOEK et les Amis de la Galerie De Zwarte Panter. Comprenant 160 reproductions couleurs.

Une édition de luxe numérotée 1 à 30 comprenant une peinture, huile sur toile, de même dimensions que le livre : 30 x 24 cm dans un emboîtage bois naturel.




Informations pratiques


Galerie Fred Lanzenberg
9, avenue des Klauwaerts
1050 Bruxelles
tel : 02 647 30 15
fax 02 646 43 88
@




voir aussi : www.galeriefredlanzenberg.com



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29 mars 2007 4 29 /03 /mars /2007 05:10

Par les élèves de l’Ecole des Arts appliqués de Genève design 2D, bd, illustration

 

Du 31 mars au 29 avril 2007

 

Villa Bernasconi - Grand-Lancy (Suisse)






Ecole des Arts appliqués de Genève


La Villa Bernasconi offre à l’Ecole d’arts appliqués de Genève l’opportunité d’exposer une sélection de travaux de la très jeune section design 2D, bd, illustration.



communiqué :


POURQUOI DESSINE-T-ON AUJOURD’HUI?

La question mérite d’être posée depuis l’avènement de l’informatique et des techniques de création d’images virtuelles. Est-ce que manier le crayon reste le fait d’une poignée de doux rêveurs? On en douterait, à voir le nombre d’inscrits en section design 2d, bd, illustration, nouvellement créée à l’Ecole d’arts appliqués de Genève. Ce sont les travaux de ces élèves et de ceux fraîchement sortis de cette filière qui sont présentés à la Villa Bernasconi dans une sélection des meilleurs oeuvres personnelles et collectives réalisées dans chaque atelier.




Ecole des Arts appliqués de Genève



Sous la direction de Christian Humbert-Droz et avec la collaboration des professeurs des différents ateliers, l’exposition accueille les travaux de ces artistes en formation qui demain mettront en images notre paysage. Illustration de livres, films d’animations, cartes postales ou bandes dessinées, ils marqueront de leur empreinte notre environnement.
Pour l’heure, ils présentent dans l’exposition L’IMAGE DESSINEE un avant-goût de leur appréhension du monde, de son interprétation et de sa mise en couleur.

 

POURQUOI DESSINE-T-ON AUJOURD’HUI, ALORS?

Parce que quel que soit le support final - ordinateur, film ou autre technique d’avant-garde - le dessin permet de saisir l’instant sur le vif, de concentrer son observation, d’aguerrir sa technique. Il n’exclut pas les nouvelles technologies ni les excursus dans l’imaginaire, bien au contraire.
Tant les fresques collectives présentées à la Villa que les travaux personnels (des petits bijoux de films d’animation, des coups de coeur de bd ou de dessins en trois dimensions) justifient de la densité que confère le dessin. Mise en couleur, typographie et transferts sur les divers supports viennent compléter la diversité des oeuvres présentées ici. Le zeste de créativité fait le reste.

 

POURQUOI DESSINE-T-ON AUJOURD’HUI, DONC?

C’est encore le thème de la table ronde qui réunira Zep, ancien étudiant de l’école avant d’être le célèbre créateur que l’on sait, et John Howe, le non moins illustre dessinateur du film le Seigneur des anneaux. Animée par Ariel Herbez, journaliste au Temps, cette discussion prédit de beaux jours pour l’IMAGE DESSINEE…



photos  : (1) Fresque collective de 10m


informations pratiques :

exposition :

Vernissage le 30 mars dès 18h

Villa Bernasconi
8, route du Grand-Lancy
1212 Grand-Lancy
tél. +41 22 794 73 03

Horaires: du mardi au dimanche de 14h à 18h

Visites guidées sur demande au 022 706 15 33/34

conférences :

L’Image dessinée, lundi 16 avril 2007 à 19h
Table ronde avec Zep et John Howe, animée par Ariel Herbez.
Salle communale du Grand-Lancy, 64 route du Grand-Lancy, 1212 Grand-Lancy.

publication :

Le Pavé
Présentation du « Pavé », un ouvrage de référence couvrant en mots et en images l’ensemble des métiers que propose l’offre de formation de la EAA, le soir du vernissage, le 30 mars dès 18h. Vente sur place.


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28 mars 2007 3 28 /03 /mars /2007 19:13

Foire  Internatinale d'art moderne et contemporain

 

du 30 mars au 2 avril 2007

Milan




Joan Pere Massana





(détail d'une sculpture de 240 x 240 cm) de Joan Pere Massana  présentée par la galerie  Il Torchio-Costantini qui expose par ailleurs les photographes Occhiomagico, M.Gallimberti, F. Galiani l'artiste français M.Ash. les italiens T.Porta et Spadari, sur un stand de 100m2 .

1/9 unosunove arte contemporanea, Roma; 41 artecontemporanea, Torino; A arte Studio Invernizzi, Milano; Amedeo Porro Arte Moderna e Contemporanea, Milano; AMT gallery, Como; Paul Andriesse, Amsterdam – NL; Anfiteatro Arte, Milano / Padova; AR/Contemporary Gallery, Milano; Pepe Arcaute Arte Contemporaneo,San Pedro – MEX; L’Ariete artecontemporanea, Bologna; Arte 92, Milano; Arte e Arte, Bologna; Arte Silva, Seregno, Mi; Artecentro, Milano; Artestudio, Milano; Artem, Palermo; Artist Villane Gallery, Beijing - CRP; Artopia, Milano; Astuni,  Pietrasanta, Lu; Austin/Desmond Fine Art, London – GB; B & B arte, Mantova / Sirmione, Bs; Manuel Barbié, Barcelona – E; Jordi Barnadas, Barcelona – E; Antonio Battaglia, Milano; Berengo Studio, Murano,Ve/Arnhem - NL; Bergamo, Bergamo; Bianca Maria Rizzi, Milano; Flora Bigai Arte Moderna e Contemporanea, Venezia / Pietrasanta, Lu; Blanchaert, Milano; Blu, Milano; BND Tomaso Renoldi Bracco Contemporary Art Vision, Milano; BonapArte, Milano; Bonelli Arte Contemporanea, Mantova; Piercarlo Borgogno, Milano; Ben Brown Fine Arts, London – GB; Byblos Art Gallery, Verona; Ca’ di Fra’, Milano; Cafiso Arte, Milano; Clio Calvi Rudy Volpi, Milano; Cardelli & Fontana, Sarzana, Sp; Cardi, Milano; Pier Giuseppe Carini Arte Contemporanea, San Giovanni Valdarno, Ar; Carzaniga, Basel – CH; Vanna Casati, Bergamo; Castello di Rivara, Rivara, To; Cavenaghi Arte, Milano; Centro Steccata, Parma; Citric Gallery, Brescia; Claudio Poleschi Arte Contemporanea, Lucca; Antonio Colombo Arte Contemporanea, Milano; Colossi Arte Contemporanea, Chiari, Bs; Contini, Venezia / Cortina d’Ampezzo, Bl / Mestre, Ve; Continua, San Gimignano, Si / Beijing – CRP; Corsoveneziaotto, Milano; Rino Costa Arte Contemporanea, Valenza Po, Al; Ellen de Bruijne, Amsterdam – NL; Della Pina Arte Contemporanea, Pietrasanta, Lu; Alessandro De March, Milano; 10.2! DIECI.DUE! International research contemporary art, Milano; Davide Di Maggio, Berlin - D; Di Summa, Roma; 2000 & Novecento, Reggio Emilia; Edicola Notte, Roma; Eidos Immagini Contemporanee, Asti; Ermanno Tedeschi Gallery, Torino; Fabbrica Eos, Milano; Fabjbasaglia, Rimini; Frediano Farsetti, Cortina D’Ampezzo, Bl; Fatto ad Arte, Monza, Mi; Federico Bianchi, Gongorzola, Mi / Lecco; Fioretto Arte Contemporanea, Padova; Fondazione Beyeler, Basel – CH; Forni, Milano / Bologna; Fotografia Italiana Arte Contemporanea, Milano / Saint Tropez - F; Galerie Frey, Wien – A; Frittelli Arte Contemporanea, Firenze; Galerie Pici, Seoul – KOS; Galleria delle Battaglie, Brescia; Galleria dello Scudo, Verona; Galleria Michela Rizzo, Venezia; Galleria PaciArte contemporanea, Brescia; Gariboldi, Milano; Claudia Gian Ferrari, Milano; Giraldi, Livorno; Glance, Torino; Grossetti Arte Contemporanea, Milano; Guidi & Schoen, Genova; Il Chiostro Arte Contemporanea, Saronno, Va; Il Mappamondo, Milano; Il Ponte, Firenze; Il Ponte Contemporanea, Roma; Il Segno, Roma; Il Torchio, Milano; In Arco, Torino; Antonia Jannone disegni d’architettura, Milano; Jarach Gallery, Venezia; Jorge Alcolea, Madrid – E; Kitai, Tokyo – J; Manuela Klerkx, Milano; Kro Art Gallery, Wien / Langenlois – A; L’ Archimede, Roma; L’ Immagine / AngelArt, Bari / Milano; L’ Incontro, Chiari, Bs; La Scaletta, San Polo d’Enza, Re; Lagorio Arte Contemporanea, Brescia; Lases, Paris – F; Lattuada Studio, Milano; Le Case d’Arte, Milano; Le Case d’Arte Vetrina, Milano ; Les Chances de l’Art, Bolzano; Roberta Lietti Arte Contemporanea, Como; LipanjePuntin, Trieste / Roma; Lorenzelli Arte, Milano; Federico Luger Gallery, Milano; Marchetti, Roma; Marella Arte Contemporanea, Milano / Beijing - CRP; Marescalchi, Bologna / Cortina d’Ampezzo, Bl; Matteo Lampertico, Milano; Manel Mayoral, Barcelona – E; Mazzoleni, Torino; Spazio Mazzotta, Milano; Metis-nl, Amsterdam – NL; Milano, Milano; MK galerie.nl, Rotterdam – NL / Berlin - D; Monitor, Roma; Lelia Mordoch, Paris – F; Movimento Arte Contemporanea, Milano; Niccoli, Parma; Nina Lumer, Milano; N.O. Gallery, Milano; NOTgallery, Napoli; Nowhere Gallery, Milano; nt art gallery, Bologna; Obraz, Milano; Oddi Baglioni, Roma; Open Art, Prato; Pack, Milano; Paolo Maria Deanesi Gallery, Rovereto; Alberto Peola, Torino; Pescali & Sprovieri, London – GB; Pittura Italiana, Milano; Pluraebello/Ierimonti Gallery, Milano; Plurima, Udine; Poggiali e Forconi, Firenze; Poleschi Arte, Milano; PoliArt, Milano; Project B Contemporary Art, Milano; PROJECTESD, Barcelona – E; Prometeogallery, Milano; Proposte d’Arte, Legnano, Mi; Studio d’Arte Raffaelli, Trento; Riccardo Crespi, Milano; Rizziero Arte, Pescara; Romberg Arte Contemporanea, Roma / Latina; Ronchini Arte Contemporanea, Terni / Roma; Rubin, Milano; Lia Rumma, Napoli/Milano; S.A.L.E.S., Roma; Sabrina Raffaghello Arte Contemporanea, Ovada, Al; Salamon & C., Milano; San Carlo, Milano; San Salvatore Art Project, Modena; Seno, Milano; Diana Stigter, Amsterdam – NL; Soave, Alessandria; Bruna Soletti Arte Contemporanea, Milano; Spazia, Bologna / Minerbio, Bo; Spazio Annunciata, Milano; Spaziotemporaneo, Milano; Spirale Arte Contemporanea, Milano / Monza, Mi / Pietrasanta, Lu / Verona; Sprüth Magers, Köln – D; Strindberg, Helsinki – SF; Studio d’Arte Fioretti, Bergamo; Studio Legale, Caserta; Tang Contemporary Art, Beijing – CRP / Bangkok - T; Techne Galleria d’Arte Ceramica Contemporanea, Montelupo Fiorentino, Fi; Tega, Milano / Pietrasanta, Lu; Tonelli, Milano; Tornabuoni Arte, Firenze / Venezia / Milano / Portofino, Ge; Toselli, Milano; Traghetto, Venezia / Roma; Daniele Ugolini Contemporary, Firenze; UNDER UP photo gallery, Bologna; unorossodue, Milano; Fons Welters, Amsterdam – NL; Valente Arte Contemporanea, Finale Ligure, Sv; Valmore Studio d’Arte, Vicenza; van Gelder, Amsterdam – NL; Martin van Zomeren GMVZ, Amsterdam – NL; Vecchiato New Art Gallery, Padova; VM21, Roma; Zonca & Zonca, Milano.

 A cette liste impressionante de galeries participant à la Feria  s'ajoutent environ 80 galeries italiennes spécialisées dans la photographie.

 

 Afin d'offrir un panorama complet de l'art à travers le monde MiART a imaginé de distinguer les espaces d'exposition et a crée  quatre sections consacrées respectivement à  l'art moderne,  l'art contemporain, Art & Co et  Anteprima. Toutes les tendances seront représentées, des avant-garde historiques  aux travaux expérimentaux les plus récents. Pour l"édition 2007 Miart a invité 16 artistes chinois. La fondation suisse  Basel-based Foundation Beyeler a accepté de collaborer en prenant part à la foire.


informations pratiqques :

Pavillons 1 , 2 et 4 du Hall des expositions de Milan





voir aussi : le site de MiART 07


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20 mars 2007 2 20 /03 /mars /2007 05:36

jusqu'au 20 mai 2007

 

Collection de l'art brut - Lausanne





Aleksander Lobanov




La collection de l'art brut à Lausanne organise une rétrospective de la figure majeure de l'art brut russe.

 

Illettré, retranché du monde, étranger à la création artistique patentée, ignorant tout du dessin, de la peinture, de la mise en scène et de la photographie, Aleksander Lobanov (1924-2003) a produit des œuvres, en majorité des autoportraits,  influencées par l'idéologie soviétique triomphante.

 

120 Oeuvres sont exposées pour cette rétrospective qui suit l'exposition organisée en février par la galerie Objet Trouvé  24, rue de Charenton - 75012 Paris (M° Bastille)



informations pratiques :

Collection de l'art brut

11, av. des Bergières
CH - 1004 Lausanne
Tél. +41 21 315 25 70
Fax +41 21 315 25 71



voir aussi : le site de la collection de l'art brut, le site de la galerie Objet Trouvé




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